Les Aventures De Dje Ep 70 : Un P'Tit Gigolo
LES AVENTURES DE DJE
Ep 70 : UN P'TIT GIGOLO
La cabane était très confortable. Même si le mot
cabane ... est excessif. C'était son aspect extérieur, dessinée toutefois avec élégance, très bien travaillé et il avait fallu un grand soin pour donner à cette chambre d'hôtel de luxe cet aspect rustique. Une large terrasse ouvrait sur un coin salon qui permettait au client de recevoir une bonne quinzaine de convive.
La cabane était fièrement installés au bout de la branche d'un arbre en haut d'une colline, elle offrait une vue sur le lac en contre-bas et de l'autre côté on pouvait voir la canopée d'une forêt, dans laquelle on devinait des chemins. Cet arbre c'était l'arbre central ou se trouvaient douze chambres de première classe ( les plus chères ), toutes au bout d'une branches sur lesquelles était installé une passerelle sécurisé qui conduisaient jusqu'au tronc.
Vous imaginez bien que c'était un arbre artificiel, sinon il n'y aurait pas l'ascenseur !
Mais ce trompe lil était réalisé avec beaucoup de moyens, c'était superbe, on se serait cru dans une bande dessinée
L'intérieur des cabanes ressemblait à de petites suites de luxe
Pour les clients c'était une vie rustique certes, l'espace était réduit, mais sans pour autant se démunir d'un minimum de confort
Antoine avait fait le tour de la chambre rapidement, il avait un service maître d'hôtel à la carte autant qu'à la demande.
Antoine : On voit qu'on est à la dure, la salle de bain est petite et il y a juste une baignoire
Même pas de bain moussant
Il disait ça en rigolant je vous rassure.
Antoine prenait tous ses repas au restaurant. C'était pas loin, juste entre les racines de l'arbre. Les repas pouvaient être servis dans les suites à tout heure, à la demande. Tôt le matin Antoine descendait de sa chambre en tenue de sport, prenait son petit déjeuner rapide comme il faisait toujours d'habitude.
Il saluait d'un regard accompagné d'un sourire les autres vacanciers pendant l'entraînement puis il faisait un plongeon dans le lac avant de prendre un grand verre de jus de fruits au bar de l'embarcadère, îlot du lagon
Antoine était parti seul, il revenait accompagné
Rapidement les vêtements tombaient. Antoine tirait vers lui sa rencontre du jour et l'embrassait. Le garçon lui répondait en le couvrant de baiser sur le torse. L'affaire s'était décidée rapidement et il n'y avait pas de temps à perdre. Antoine ne se défendait pas le garçon tirait son short vers le bas, il lançait ses chaussures plus loin et ouvrait à son tour le short de son camarade, déjà il bandait.
Antoine se mettait à genoux et lui suçait la queue. Il se jetais sur lui d'une manière presque frénétique, il était en manque. Il prenait la queue de son ami de passage jusqu'au fond de la gorge, le jeune homme ne résistait pas, c'est simple, il ne faisait rien. Il ne caressait même pas les cheveux d'Antoine, il n'appuyait pas sur la tête, il n'avançais pas son bassin. Il se retirait doucement pour s'asseoir sur le fauteuil, lentement pour laisser à Antoine tout le temps de suivre le mouvement. Antoine suivait, et la queue de son amant entrait et sortait de sa bouche à la même vitesse, toujours de la même manière.
Bien à fond, Antoine écrasait son visage contre le ventre de son partenaire et sa queue lui rentrait bien à fond dans la gorge. Antoine retirait la tête en arrière, la queue de son partenaire ressortait complètement, il la caressait et passait sa langue autour de son gland. Le jeune homme écartait les jambes et se laissait retomber sur le dos, il avait un grand sourire et regardait Antoine s'activer sans intervenir.
Antoine continuait, il était décidé, il avalait la queue de son camarade puis relevait la tête. Il recommençait et recommençait encore. Au bout un certain temps, la respiration de son camarade devenait plus forte, sa main finissait par se poser sur la tête d'Antoine. Aucune pression, la main suivait les mouvement et caressait doucement les cheveux d'Antoine, il ne faiblissait pas, il poussait des petits gémissement et de petits bruits bizarres.
Le garçon : Je ne vais pas pouvoir traîner trop longtemps. Tourne toi, je vais t'enculer !
Au moins c'était clair et directe ! Antoine aimait ça et ne le faisait pas répéter. Il se relevait et se penchait contre l'autre fauteuil. Son ami de passage se relevait alors et commençait aussitôt à lubrifier le cul d'Antoine. Même en vacances certains ne prennent jamais le temps de prendre leur temps
Il glissait un doigt dans le cul d'Antoine, puis deux et enfin trois. Antoine manifestait son approbation par des râles de plaisir.
Rapidement son camarade s'approchait puis se plaçais juste derrière Antoine et d'un mouvement rapide enfonçait sa queue bien à fond. Il était bien monté, sans plus et Antoine était très entraîné, il se contentait de pousser un gémissement de plaisir. Sans attendre son camarade commençait à le limer et en peu de temps les mouvements de va et viens étaient aussi violent que rapide.
Antoine l'encourageait : '' Oui vas y ! ''
'' C'est bon encore ''. Qu'est ce qui excitait le plus cet homme rencontré par hasard, l'allure d'Antoine, sa musculature ou encore juste son dispositif PK, son dispositif de chasteté
En tous cas cet inconnu se lâchait, c'est lui qui maintenant râlait de plaisir. Il sentait le plaisir monter, le désir était à son comble, il frémissait déjà du plaisir qui montait et au moment ou ce plaisir explosait, au moment ou il éjaculait dans le cul d'Antoine c'est tous les deux ensemble qu'ils hurlaient de plaisir.
La tension retombait rapidement.
L'inconnu : Au fait moi c'est Arthur !
Antoine : Antoine !
Arthur : Et tu portes toujours ce genre de truc ?
Antoine : Bein oui !
Arthur : Et tu fais quoi dans la vie ?
Antoine : Je suis étudiant mais ce truc dont du parles, c'est moi qui en suis l'inventeur.
Arthur : J'y crois pas !
Antoine : Bon je ne l'ai pas inventé tout seul, j'étais avec un ami Djé !
Arthur : Djé ?
Antoine : Tu as peut être entendu parler de Djé.
Arthur réfléchissait une petit moment
Arthur : C'est pas vous les deux champions dont on parle dans '' Sport Et Jeunesse '' ?
Antoine : Tu sais on parle de nous un peu partout
Les deux hommes se séchaient et Arthur repartait, un dernier baiser : '' Ça m'a fait très plaisir de te rencontrer Antoine
''
Arthur disparaissait dans l'ascenseur. Antoine terminait la matinée sur la plage de l'îlot du lagon. Un peu de bronzette, un glace, quelques plongeons dans la piscine ( le fameux lagon ) avant de revenir dans sa chambre pour se changer. C'est beau comme un prince qu'il descendait au restaurant gastronomique. L'après midi le club organisait une ballade dans la région avec arrêt dans les boutiques de souvenirs, le repas du soir arrivait vite, il était suivi d'une soirée dansante
Bref une journée bien remplie
Le lendemain on recommençait, cette fois-ci il revenait seul de son footing
Pas tous les jours non plus. Dans l'après midi Antoine retrouvait au club hippique une très jolie femme un peu plus âgée avec qui il avait dansé la veille
Valérie
Valérie : Antoine, vous ici, je ne savais pas vous faisiez de l'équitation ?
Antoine : Mais voyez vous Valérie, dans le domaine du sport je ne vois aucune raison de me limiter.
Valérie : Vous êtes expérimentée dans ce domaine ?
Antoine : Pas vraiment, je suis débutant en équitation !
Valérie : Mon père élevait des chevaux, si vous le voulez bien, je me ferais un plaisir de vous aider pour vos début !
C'est donc tout tranquillement que ce nouveau couple partait faire une balade dans la forêt.
Valérie : Je te remercie Antoine, j'ai passé une journée merveilleuse avec toi.
Antoine : Mais tout le plaisir était pour moi, tu est une merveilleuse monitrice d'équitation.
Valérie : Alors c'est promis tu passes à 20 heures, je te présenterai à mon mari et je suis sure que tu vas très bien t'entendre avec ma fille.
Valérie occupait un appartement sur le même arbre qu'Antoine, il n'y avait pas beaucoup de chemin à faire, une branche, deux bourgeons et un rameau. Il s'était fait tout beau Antoine quand il sonnait à la porte. La porte s'ouvrait et ses yeux lui ressortait de la tête quand il voyait le jeune homme très attirant qui lui ouvrait la porte
'' C'est quand même pas le mari à Valérie, il a mon âge ? '' Se disait Antoine.
Valérie arrivait juste après.
Valérie : Raphaël, je te présente notre voisin de branche ( deux branches plus loin pour être précis ). Antoine, tu sais chéri, c'est lui qui a inventé ces nouveaux dispositifs de chasteté PK. C'est un personnage important au sein de la PK.
Raphaël lui faisait un grand sourire, il avait apporté une bouteille de champagne.
Antoine : Je n'ai pas osé venir les mains vides
Raphaël : Ouaouw ! C'est sympa, entre, installe toi !
Valérie : Tu ne connaissais pas mon mari ? ...
Ils faisaient plus ample connaissance, la discussion allait bon train quand arrivait un peu plus tard Élisabeth. Antoine n'y croyait pas, elle était plus âgée que son beau père, pas de beaucoup mais un petit peu quand même. C'est à ce moment qu'Antoine se demandait s'il avait eu raison de garder son dispositif de chasteté
Valérie était magnifique, sa fille était à tomber, et le gigolo était craquant aussi
Antoine comprenait rapidement que c'est Valérie qui avait l'argent, que Raphaël était un petit gigolo et que Élisabeth n'appréciait pas vraiment de voir sa mère dans les bras d'un homme qui avait l'âge d'être son frère cadet.
Raphaël était charmant. Valérie c'était la grande dame, elle était très cultivée et parlait cinq langues.
Raphaël : Le jour ou j'ai rencontrer cette fée, a certainement été lé plus beau jour de ma vie.
Élisabeth : Il travaillait dans un bar
Et c'est sûr son niveau de vie à changé !
Valérie : BETH ! Nous avons un invité ce soir, pourrait tu éviter ce genre de commentaire ?
Élisabeth : Oui mère ! Voudriez-vous m'excuser cher nouveau papa. Au fait j'ai remarqué que vous vous êtes fait offrir une nouvelle voiture de sport !
Valérie : Je ne te demande pas de compte sur ta manière de dilapider ta part d'héritage
Élisabeth : DILAPIDER ! Voilà mère une manière bien singulière de définir des dépenses qui sont seulement à la hauteur de mon train de vie
Je n'ai pas acheté une montre en or massif à mon gigolo moi
Par réflexe Antoine jetait un il vers la montre que Raphaël tentait de cacher dans sa manche. Trop grosse elle ne rentrait pas, mais elle était blanche.
Élisabeth : Oh pardon, je voulais dire en platine massif. Je ne voulais pas que tu te sentes méprisé par des cadeaux bas de gamme mon pauvre nouveau papa !
Au début Antoine s'était senti très mal à l'aise, puis il finissait par s'y faire et rapidement il se demandait jusqu'où ils allaient aller tous
Finalement il était un peu comme au spectacle.
Valérie : Je suis confuse du comportement de ma fille Antoine. Je ne sais plus quoi dire.
Antoine : Et bien ne dis rien ! L'entrée était succulente
Ils n'en étaient qu'à l'entrée ! Les deux femmes se calmaient pour le reste du repas mais on sentait toujours une certaine tension. Raphaël restait calme et Antoine se disait que c'était peut être le prix à payer pour ce statut particulier d'homme de luxe !
Le dessert n'était pas terminé que les deux femmes recommençaient à se crêper le chignon ! Raphaël allait parler quelques instant à l'oreille de Valérie
Puis revenait vers Antoine.
Raphaël : Valérie me propose de t'emmener prendre un verre quelque part.
Ils sortaient de l'appartement et les hurlements commençaient à se faire entendre
Raphaël : Tu sais c'est pas toujours facile
Antoine : J'imagine !
Raphaël : Et puis c'est avant tout de l'amour, entre Valérie et moi.
Antoine : Tu pourrais me donner l'heure s'il te plaît
Raphaël : Il est presque onze heures. C'est une histoire merveilleuse entre elle et moi !
Antoine : Bien sûr il y a Élisabeth
Raphaël : Bien sûr je n'aurais peut être pas du commencé par la séduire mais à ce moment, ce soir là, je n'avais pas encore vu Valérie
Antoine : Et de fait Élisabeth est jalouse que tu l'ai laissée tomber pour sa mère
Raphaël : Pas du tout, elle venait de m'envoyer braire !
Ils arrivaient à la porte de la chambre d'Antoine. Antoine l'invitait à rentrer. Il m'a raconté plus tard qu'il avait vraiment envie de ne pas louper la suite de cette histoire
Donc le soir ou Raphaël avait rencontré Valérie. Il avait commencé à draguer la fille, il s'était fait envoyé braire comme je le disais, puis avait reporté ses espoirs sur la mère. C'est donc dans le lit de la mère que la fille le retrouvait le lendemain matin
Depuis il y a comme un froid entre lui et la fille
Raphaël : Et toi, tu vas aussi hériter
Antoine : pourquoi ? Je vais hériter
Raphaël : Si tu es capable de louer une telle suite c'est que tu as de l'argent, et comme tu me sembles trop jeune pour avoir gagné cet argent
Antoine : C'est pourtant le cas ! Pour le mois en cours j'attends un versement de plus de deux millions de DI.
Le visage de Raphaël changeait subitement, son regard, son sourire, le mouvement de sa tête
C'était difficile à définir
Antoine lui tendait un verre, Raphaël le prenait, leurs mains se touchaient. Raphaël regardait son hôte droit dans les yeux
Il se levait en posant le verre sur la table basse. Debout, face à face, ils se regardaient droit dans les yeux et, un sourire, un clignement des paupières
Ils se sautaient dessus l'un l'autre et je peux vous garantir que c'était pas pour se faire mal. Et ce même si un des deux finirait pas gueuler ce soir là !
Ils avaient l'air en manque
Antoine on peut le comprendre le pauvre, ça faisait bien trois jours qu'il n'avait pas tenu un mec dans ses bras
Une fille ? Alors là je crois que plus personne ne s'en souvient, là ça faisait largement plus de trois jours !
Mais Raphaël, on ne pouvait pas douter que Valérie devait être chaude et il n'était pas crédible qu'elle le laisse en manque de sexe
Il serrait fermement Antoine dans ses bras, il n'avait fallu que quelques secondes pour que les vêtements se retrouvent éparpillés un peu partout dans l'appartement. Raphaël caressait les couilles d'Antoine. Ils bandaient ferme tous les deux, mais ça ne se voyait vraiment que sur un seul des deux !
Raphaël : C'est trop délire ton truc, j'adore !
Antoine : Tu n'avais jamais vu ?
Raphaël : Vu si mais
C'est la première fois avec un mec qui en porte un !
Antoine : C'est pas la première fois avec un mec ?
Raphaël rigolait doucement en entendant cette question.
Antoine s'accroupissait et commençait à sucer la queue de son nouveau copain. Il était bien foutu et plutôt bien monté le lascar. Elle ne devait pas s'ennuyer Valérie. Il était doux mais il était viril aussi, non c'est pas incompatible ! Il tirait doucement la tête d'Antoine vers lui, doucement mais fermement.
C'est une position qui ne déplaît pas à Antoine, je le connais personnellement et je le pratique encore de temps en temps
Antoine, il avalait la queue du gigolo sans effort apparent. Il fait ça bien, il enroulait sa langue autour du gland de Raphaël, puis la prenait jusque dans la gorge. Il appuyait, écrasait même son visage contre le ventre de son partenaire.
Raphaël passait peu à peu à l'action et donnait progressivement des petits coups de rein, il accélérait et ses coups devenaient plus forts, plus rapides et pour finir plus violents. Il était surpris de la manière dont Antoine encaissait. Il lui tenait alors la tête fermement et donnait des coup de butoir qu'il ne retenait plus.
Antoine transpirait et des larmes coulaient de ses yeux mais il tenait le coup. Je vous le dis, c'est entre nous mais il adore ça ! En même temps Antoine lui caressait les cuisse et le retenait pas les fesses
Quand je vous dis qu'il adore ça !
Raphaël : Tu veux que je t'encule ?
Antoine faisait oui de la tête.
Raphaël : Valérie elle ne veut jamais que je la prenne par derrière moi ! C'est pas cool . Les mecs il ont besoin de passer par derrière de temps en temps !
Antoine s'était retourné sans rien dire, il devait sans doute se remboîter les mâchoires. Raphaël n'attendait pas, de toutes évidences il n'avait pas de temps à perdre. Il se plaçait en position bien posé sur ses deux jambes et rapidement avec un plaisir malicieux enfonçait sa queue bien à fond.
C'était prévisible et comme on s'y attendait c'est Antoine qui gueulait et de plaisir en plus. Il se lâchait, il aimait faire ça le gars et il en profitait. Ses mouvements devenaient très rapide, très violents aussi. Antoine se cramponnait là ou il pouvait, il gémissait, il râlait de plaisir. Dans sa cage la pression était forte, ses couilles formaient un boule dure, des bourrelets de peau ressortaient par les ouvertures dhygiènes. Pour les dispositifs qui sont portés sur de longues périodes ces ouvertures sont indispensables.
Raphaël poussait un cri à chacun de ses mouvements, un cri je devrais dire un râle de plaisir à chaque fois que son ventre s'écrasait contre les fesses d'Antoine.
Antoine gémissait, il se tordait de plaisir, il soufflait fort par moment il avait le réflexe de vouloir se dégager, quelques gouttes de sperme coulaient de son dispositif. Il râlait de plaisir, il jouissait, c'était bon tellement bon
Raphaël poussait à son tour des cris de plaisir, il jouissait à son tour, balançait quelques dernier coups de rein particulièrement violents avant de se laisser tomber sur son partenaire
Elle s'amuse bien Valérie se disait Antoine !
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